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Message par tonybrina Mer 23 Jan - 19:24

Auto - Transports





Renault : un document confirme la fermeture de sites faute d'accord sur la compétitivité

Par Maxime Amiot | 23/01 | 15:36 | mis à jour à 17:07 | 2commentaires
Malgré les démentis du constructeur automobile, un document interne évoque bien la fermeture de sites en France si les négociations avec les syndicats pour un accord compétitivité n'aboutissent pas. Des débrayages ont eu lieu mercredi dans plusieurs usines Renault à l'appel de syndicats.

RENAULT un document confirme la fermeture de sites faute d'accord sur la compétitivité 53141210




C'est ce qui s'appelle jouer sur les mots... Alors que mardi, Renault a démenti mardi avoir menacé de fermer deux sites en France en cas d'échec des négociations sur un accord de compétitivité au sein du groupe, un document de la direction dévoilé ce mercredi par l'AFP et que « Les Echos » ont pu se procurer précise ce qui a réellement été dit au cours de la réunion. Et n'en déplaise au constructeur, celui-ci a bien indiqué aux syndicats que des fermetures de sites seraient à prévoir si aucun accord n'était trouvé (voir ci-dessous).


Le document concerné fixe d'abord les objectifs de la négociation : « inverser la spirale négative dans laquelle se trouve Renault en France », et « donner à Renault les bases solides dont il a besoin ». Et de préciser juste après : « à défaut, l'engagement de ne pas fermer de sites ne pourrait être tenu et des fermetures de site seraient inéluctables ». Et que « l'engagement de ne pas faire de PSE (Plan de sauvegarde de l'emploi) ne serait pas tenable ».


De quoi relativiser le démenti diffusé mardi après-midi par Renault, qui indiquait : « Contrairement à certaines informations publiées cet après-midi, Renault n'a jamais indiqué que « deux sites » pourraient être fermés en cas de non conclusion des négociations en cours sur la performance de ses sites français ».


Un démenti qui avait été demandé par le ministère du Redressement productif. De fait, l'Etat, actionnaire minoritaire du groupe à hauteur de 15% est très remonté contre cette polémique naissante, prévenant que les négociations en cours de ne devaient pas « s'apparenter à du chantage ». Une position reprise par le ministre du Travail, Michel Sapin, pour qui les discussions doivent être « loyales ». « Tous les moyens ne sont pas bons » pour négocier, a estimé le ministre.


Des débrayages sont intervenus dans la matinée sur les sites de Cergy, Cléon, Douai, Flims, au technocentre de Guyancourt, au Mans, à Sandouville, à la Fonderie de Bretagne et SOVAB, selon les chiffres fournies par la direction de Renault. Les équipes de l'après-midi devaient également débrayer sur ces sites. Les syndicats dénoncent un « chantage de la direction ».

Bras de fer social


Après l'annonce la semaine dernière de son intention de réduire ses effectifs d'environ 7.500 postes d'ici à la fin 2016 (8.200 postes sans tenir compte des embauches simultanées), le groupe qui emploie 45.000 salariés (hors commerce automobile et activité de crédit), a proposé mardi à l'issue d'une réunion de négociation avec les syndicats un gel des salaires en 2013, et des augmentations limitées, en contrepartie, il promet une production supplémentaire de 80.000 véhicules à ses usines française.


Renault et les organisations syndicales doivent se réunir le 29 janvier pour poursuivre leur négociation. Les syndicats présenteront leurs contre-propositions. FO, la CGT, la CFDT ont déjà appelé à de nouveaux débrayages.







tonybrina
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